Petite visite la semaine dernière à Paris de mon bon ami le grand artiste africain Conrad Botes, en compagnie duquel j'ai vidé une bouteille de Saint-Joseph Guigal 2003 à la brasserie Polidor dans notre belle capitale. Dès qu'il fut saoul, et à l'instigation du sieur Lancelot également présent, j'en profitai ingénument pour lui soutirer une dédicace sur son ouvrage The Big Bad Bitterkomix Handbook, dont il m'a remis un exemplaire de la nouvelle édition reliée, avec nouvelle couverture. J'avais déjà l'édition 2006 en souple et couverture première version.
Et donc la nouvelle couverture (en collaboration avec son alter ego Joe Dog) :
Et pour mémoire la précédente version :
Pas mal non plus.
Et donc ce bouquin revient sur le parcours graphique de Conrad Botes et Joe Dog, les deux compères de Bitterkomix, la revue de BD sudaf qu'ils ont créée il y a quinze ans. Tellement qu'il est bien ce livre, c'est pas tant à cause le qualité de la maquette, ni de la richesse de l'iconographie ou de la qualité des reproductions (dont une quantité non négligeable de zigounettes et de foufounes afrikaners), mais bien surtout parce qu'il inclut un article en français signé de votre serviteur. Bon j'avais écrit ça à l'arrache il y a bien cinq ans pour une expo qu'ils faisaient avec l'Institut français d'Afrique du Sud de Jobourg, et je n'y trouve plus que facilités de style et approximations syntaxiques, mais ça fait plaisir tout de même.
Et je dis pas ça pour me vanter.
20 février 2008
Hors d'Afrique
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
7 commentaires:
Ca c'est sur que pour te vanter t'est pas très fort des fois.
Mais moi je m'en vais te vanter un peu quand même parce que ton blog il est vachetement bien… pourvu que sa dure !
Merci à la petite Vivie, de Montrouge, pour avoir inauguré la section commentaires de ce blog-notes.
Je signale au passage qu'il n'est plus nécessaire de s'enregistrer machin bidule tout ça pour laisser des commentaires, on peut le faire en anonyme. Mais si vous comptez fréquenter l'endroit, pourquoi ne pas le faire pour qu'on sache qui nous parle d'où ?
Bon, je rame un peu, c'est les débuts, merci pour votre indulgence, et donc. En fait on peut laisser un message en s'identifiant avec NOM/URL sans avoir besoin de s'enregistrer et sans rester anonyme. Ouf. Voilà voilà.
L'intérêt du bouquin des Bitter, c'est quand même largement qu'on voit ma bibine.
Dis donc, mon vieux Robocop, maintenant que j'ai repéré ton blog, tu vas voir ce que tu vas voir.
ouais, attention, apolapo, c'est la terreur des coms. C'est bien simple, là où il trépasse, rien ne repousse. Un vrai "rebel" en 103.
Appollo : puisque tu m'as démasqué, je vais mettre un lien vers ton bleuug, espèce de petite vermina australe.
Et je me demande bien qui est ce monsieur Apolapo.
certainement pas un dick rivers en bou djinzs et veste skaïe
Enregistrer un commentaire