7 juillet 2008

No pacharan !

Mes amis l'heure est grave. L'heure est aux vacances. Après ces quelques mois à la tête d'une des cyber rédactions les plus motivées de cette année 2008, je dois me retirer au pays. Au plus beau pays du monde, celui qui souffre encore et masque à grand peine ses blessures subies sous le joug colonial français. Celui qui soigne ses peines au son de la vielle, se contentant chaque matin pour pour aller de l'avant d'une modeste tartine de fourme trempée dans le café mouillé de goutte.


Sachez seulement qu'une réunion extraordinaire du bureau patriotique de l'Armée Checrète Auvergnate de Libérachion de l'Auvergne doit se tenir et décider de mesures pour perturber la digne tenue de la fête nationale française. Tripoux-coco, rhum arrangé à la gentiane, ravitoto du Velay, rien ne sera épargné à l'occupant et à ses représentants. Comprenez, mes amis, que je ne puisse ici en dire davantage.

8 commentaires:

Totoche Tannenen a dit…

Et les z'achards chouchou-farcis, alors ?
Et le punti'Jacques boucané ?
Et l'aligot des plaines ?

ACHALA vaincra !

Li-An a dit…

J'ai cru que tu parlais de Mada...

Anonyme a dit…

la tartine de fourme , c'est obligé?

déjà le tripou -coco, c'est limite.

Bon , "l'important est de ne pas abuser des sauces" et de toujours se munir de sa tenue de combat.

Anonyme a dit…

Erratum : tartine de Gex..

Joyeux retour dans la metropole

Anonyme a dit…

ben alors, le quotidien est en vacances ?

c'est vrai que pour le cinéma , ce n'est pas la période la plus propice.

mais tout de même!

Totoche Tannenen a dit…

Par contre la pacharan, c'est basque, il me semble.
Je te garde un fond de bouteille pour la prochaine fois que tu passes.

Hobopok a dit…

Eh bien merci Totochhe, tous les chours che apprends un peu. J'ignorais que le pacharan fût une liqueur basque. Du coup mon titre est deux fois plus drôle, non ?

Anonyme a dit…

Qu'importe le flacon ...