17 décembre 2008

Brûleurs de Grèce

Lord Byron m'a envoyé cette carte postale de Grèce :


Il m'avait griffonné un petit mot au dos :

'Tis something in the dearth of fame,
Though link'd among a fetter'd race,

To feel at least a patriot's shame,

Even as I sing, suffuse my face;

For what is left the poet here?
For Greeks a blush--for Greece a tear.

Ce qu'on peut résumer ainsi :

Tiens, je me taperais bien un petit ouzo-molotov, moi.

5 commentaires:

Totoche Tannenen a dit…

J'ai décidé d'arrêter le ouzo. (pas taper)
Ça rendait mon cerveau carrément lisse.
Hum.

Hobopok a dit…

On frise l'Oscar® du calembour. Tabary serait fier de toi, ami Totoche.

Anonyme a dit…

On pourrait peut être proposer quelques rasades aux lycéens fourbus A moins qu'on ne puisse développer un cocktail ' Byron Molotov" pour les casseurs dans les manifs?

Anonyme a dit…

qu je suis bête . c'est fait !

hala niaise .

ça fait nettement digérer ton insupportable faute d'orthographe de la semaine dernière.

Hobopok a dit…

D'orthographe. Tout de suite les grands mots. Une étourderie, tout au plus.