Ca$h d'Eric Besnard.
Emballage bling-bling avec rien dedans. Une arnaque dans une arnaque dans une arnaque dans une arnaque, ou le contraire, on ne sait plus, on s'en fout, c'est nul. L'idée que le réalisateur, Soderbergh de bac à sable, se fait de la mise en scène c'est de faire allumer une cigarette ou boire une coupe de champagne à ses acteurs. François Berléand, mais qu'allait-il faire dans cette galère ? Valeria Golino, mais qu'allait-elle faire dans cette galère ? Ciaran Hinds, mais qu'allait-il faire dans cette galère ? Jean Reno, parfait. On a pitié pour eux tellement il devait être évident dès le tournage au moins qu'ils prêtaient leur nom à une grosse bouse.
Heureusement on finit par rire de bon cœur devant une telle accumulation de situations invraisemblables, de clichés éculés, d'erreurs de continuité flagrantes, de dialogues consternants qui semblent faire honte à ceux qui les profèrent. Ça aurait suffi à convaincre les frères Lumière de se faire plutôt un nom dans la plomberie.
Je laisse une étoile parce que la pellicule est impressionnée et qu'il y a de l'image et du son. Ah je sais, mais c'est tellement bon, parfois, de tirer sur une ambulance.
Crash-test :
26 avril 2008
Ocean's zero
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1 commentaire:
Corrosif à souhait ...
un vrai bonheur de te lire.
pas le temps d'aller au ciné ces temps ci !
Comment fais tu pour aller si souvent ...
au moins , tu nous évites un certain nombre de déceptions.
tu veux pas aller voir le film qui sort avec Albert Dupontel?
moi , ça me fait assez envie. ; ton avis me serait utile.
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